Ruse ingénue de l’incitation
qui produit du différent (le texte incité
ne ressemble en rien au texte incitateur)
- l’incitateur agit ainsi parce qu’il
émet une aura de créativité, d'expression-limite, de mots et de phrases,
quel que soit le sujet traité, poussés dans leurs derniers
retranchements : l’écrit appelle l’écrit, et l’écrit appelé garde une
dette par rapport à l’écrit appelant, dette qui s’honore en préservant cette
exigence nébuleuse qui fait que l’écrit ne se suffit pas à lui-même en tant
qu’écrit et que forcené (hors de ses
sens) il renverse à la fois l’écrit et son sens - , le repentir, lui, produit du
semblable (le texte rectificateur reprend
le texte rectifié – à rectifier),
mais tous deux dosent la présence et
l’absence : chacune ni totale, ni nulle.
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