Pitchs "...du rêveur." 1 et 2

1- Baroque :

Quoi de plus banal qu’un homme vieillissant qui croit se souvenir? Pourtant c’est une incessante métamorphose qui règle l’avancée de ces pages. L’absence de lien narratif favorise l’analogie, les dérives et les dérivations, les trajets inaboutis, les culs de sacs, les ouvertures infinies. Il manquera toujours un morceau vert au-dessus du rêveur.

2- Ludique :

Dans l’exploration de ce trompe l’œil clos sur lui-même et fuyant pourtant de toutes parts, c’est le lecteur qui doit tracer les traits entre les différents points, qui doit tourner les pages pour trouver la figure cachée, qui doit colorier mentalement les différentes zones pour faire apparaître les contours intacts des terreurs enfantines.

début

pitchs 3 et 4