Quelle
étrange équivalence : les spectres momentanés des écrans dévastés ont autant de
consistance, même dans leur souvenir qui décroît, que les arrangements
atmosphériques du plein jour sur les pans de roches malgré tout dressés vers
l’azur! L’agencement de ces matières
d’eau d’herbe et de roche qui résistent
pourtant (et, dans ce cas, souvent, constituent autant d’obstacles
infranchissables, de parois dangereuses…) ne porte aucune vérité ultime
supérieure qu’établirait la vitesse de la lumière soulignant les contours et
les aspérités, les chemins et les sentes. La continuité que le marcheur éprouve
en garantit la cohérence solide, simplement, en équilibre.
suite
Il manque un morceau vert au-dessus du rêveur...
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