Supplément /La technique de la théorie…
« Kubrick
a décrit l’effet de la Steadicam comme « un
tapis volant. Les mouvements rapides et fluides de la caméra dans le labyrinthe
auraient été impossibles sans elle… Les décors de l’hôtel communiquaient tous,
si bien qu’on pouvait monter un escalier, tourner dans un couloir, le longer et
déboucher sur un autre décor. Cela permettait de reproduire le même genre de
mouvement de caméra que dans le labyrinthe extérieur. Pour pouvoir exploiter
pleinement cet agencement, il fallait pouvoir faire de longs travellings sans
coupure, ce qui, naturellement, était nettement plus facile avec une
Steadicam ». »[1]
[1] A propos
du tournage de The Shining. Ciment, Kubrick
p. 189. , cité in Les Archives
Stanley Kubrick, édité par Alison Castle, TASCHEN, Köln, 2016, p.642.
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