La
désaffection est un défaut… à définir par
défaut ? Ce serait le moyen le plus simple de reproduire en le
redoublant le défaut par le défaut. En le redoublant et en le déplaçant selon
la figure peut-être la mieux adaptée, que l’on pourrait nommer translation : on fait glisser la défection du plan de la vie à celui de
son analyse et ce changement, presque
spatial, et réflexif, permet de retrouver à la fois la figure appelée
désaffection et sa caractérisation défectueuse ou défective. De plus, désaffection serait ainsi associée à défection : abandon. N’est-ce pas
cela, écrire ? Opérer un déplacement en absence de la chose, cristalliser
un manque et manquer sa définition.
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Intimités
De la déception...
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