Le « repentir » préside au projet, l’oriente et le
justifie mais n’est perceptible que par comparaison, rapprochement ultérieur,
mise bord à bord par-dessus l’espace du temps, créant une ellipse c’est-à-dire
annulant soudain tout ce qui s’est passé entre, tout en le désignant, du même
geste : on sait ce paradoxe de l’ellipse qui, comme ici le
« repentir », existe par annulation. Ainsi la rectification a posteriori d’un texte par un autre,
d’une pensée ou d’une image par une autre image ou une autre pensée, les
rapproche tout en suscitant leur différence. Peut-on parvenir à une simple
formule : « repentir » est reprise qui suture faussement alors
que baille le tissu d’un point à l’autre, que le métier du texte a du jeu …
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