Limiter
les paysages de l’élégie, non pas en nombre mais en qualité, faire en sorte que
dans leurs arrangements (les éléments qui les composent) ils ne franchissent
pas la ligne du pathétique : matières plutôt nébuleuses, teintes
translucides, arbres aérés dans la disposition de leurs branches et l’épaisseur
de leur feuillage, dominante grise mais d’une nuance claire, quelques ombres
bien entendu aux diagonales courtes, eaux limpides et calmes dont la stagnation
sans algues ni boues laisse voir des fonds sableux, miroitements dans les échos
que les éléments se renvoient. Rien d’allégorique : une simplicité vide
qui laisse la trace d’un regret possible mais inutile et déplacé.
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