Voilettes noires des femmes en noir, endeuillées, à
l’époque où le deuil devait se voir : descentes de calèches, profil voilé
et le rire insolent et moqueur faisant bouger la voilette en dentelle noire
tendue sur le visage et elle se plisse : cette image revient. Mais nulle fascination ne la rattache à ce présent où elle
revient- on l’aimait tant ! - : ni la cambrure de la taille accentuée par
le corset et la tournure, ni la silhouette découpée sur le fond indistinct des
alentours de l’absurde château n’établissent le contact immédiat, ne suscitent
l’engouement spontané qui faisaient de la contemplation de l’écran une plénitude. Les mouvements sont
mécaniques.
suite
suite
début
virtuels du rêveur...
Photofilm 1.
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