La désaffection rencontre ici sa nouvelle machine : le
stroboscope, ou son équivalent indiscipliné : il ne s’agit pas dans ce cas
de donner l’illusion, grâce à la persistance des impressions lumineuses, du
ralentissement d’un mouvement périodique rapide pour mieux l’observer par des
éclairs réguliers dont la régularité est accordée à la fréquence des
mouvements, mais de l’effet immédiat que
ces éclairs produisent, effet de stries de l’espace et du temps, mais
d’alternance accélérée du jour et de la nuit, mais de vibration visuelle
contrastée, proche des troubles que procurent certaines ophtalmies ou l’art
cinétique. Désaffection stroboscopique : segmentation d’un modus vivendi, solution de continuité,
papillonnement.
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