Ces lieux seraient –sont – de deux sortes : le lieu des
montagnes et le lieu de la vallée… Chronologiquement, du point de vue de
l’enfance puis de l’âge adulte, il vaudrait mieux dire : le lieu de la
vallée et celui des montagnes… On peut trouver cette opposition un peu facile
et trop symbolique dans les configurations qu’elle fait jouer et pourtant,
c’est ainsi, et non-prévu : l’étroite vallée de cette rivière qui déborde
souvent et dépose ses boues rouges à
l’odeur persistante, âcre, et le panorama des étagements montagneux, des
pré-Pyrénées au-dessus du confluent des gaves, jusqu’aux plus hauts sommets.
L’enfance obscure des malheurs incompréhensibles, et l’âge adulte aux
catastrophes prévisibles, hélas !
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