Une découverte : le repentir serait intrinsèque, s’appliquerait au Repentir lui-même et pas seulement à l’espacement balisé entre La Désaffection et Le Repentir de la désaffection. Gageons que cette découverte sera
productive ! On voit comment elle s’applique parfaitement à l’ensemble du
projet qui repose sur des rectifications incessantes, modifications plus ou moins
importantes de la ligne de vie, de chance… La figure du repentir, selon les
aspects retenus ici, c’est-à-dire à l’exclusion de ses références morales ou
religieuses, aspects renvoyant à l’esthétique d’un choix formel et d’un choix
de vie, inextricablement mêlés, l’un ne pouvant exister sans l’autre, porte en
elle une activité inlassable qui ne se satisfait de rien sans pour autant
gaspiller ses gains.
La Photographie n'est pas la peinture
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire