Fellini voulait qu'au cinéma le vrai vienne du faux, que le réel explose au sein de l'artifice: ainsi l'intrusion de la troupe des réfugiés serbes sur le pont luxueux du bateau de carton-pâte de "E la nave va..."
Quelques plans avant la fin, il nous montre brusquement l'appareillage technique qui fait bouger le navire et l'équipe du tournage au travail.
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