Pourquoi ne
faut-il pas dramatiser la traversée… ? Parce qu’elle n’est pas le passage
de la limite décisive avec gardien, fleuve circulaire et barque sombre, ni non
plus la remontée longue et accidentée pendant laquelle le danger bien connu est
de revenir, ne serait-ce que par le regard, en arrière ; ce n’est pas la
séparation absolue compensée par un éparpillement cosmique ; nulle Furie
ne guette le parjure… La configuration est différente, déjà dite et déjà
répétée, à relire éventuellement… Elle est de l’ordre de la Figure : déplacement, nouvelle
condensation, pourrait-on dire en empruntant des mots déjà pris ailleurs pour
autre chose, comme toujours.
début
intermèdes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire