Encadrement sans
porte : effet
de passage… jusqu’au mur final, mur porteur, mur-butoir. Nouvel arrêt, autre
épreuve à surmonter : la réduction n’a
pas tenu le choc et, de nouveau, un gonflement s’est produit, un agrandissement, puisqu’il s’agit de
photo, d’une photo et de ses virtualités complexes ; elles ont pris leur
essor et reconstitué l’espace, les espaces, les labyrinthes des vieux palais,
les errances hagardes et ludiques. Cela semble la règle : toute avancée,
toute réduction, dans l’explication qu’on en donne, se trouve de nouveau en
bute à un obstacle, se change, pour s’affirmer, en son contraire, c’est-à-dire
un développement, qui nécessite,
encore une fois, de rompre ces liens nouveaux, nés de l’emportement du
processus.
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