La restauration est
en quelque sorte le contraire de la désaffection :
elle enclave dans des labyrinthes domestiques les identités maintenues, à peine
bougées : photographies captant
le mouvement du temps sauf qu’ici l’échelonnement se compte en décennies :
les deux maisons communiquent maintenant par le haut et par le bas et semblent
n’en faire plus qu’une ; la troisième, le lieu du drame principal, a été
vendue et ses combles aménagés sont maintenant partiellement visibles : un
escalier de bois permet d’accéder à une mezzanine,
mot étranger à la ruralité du lieu, pourtant déjà modifié par l’ajout d’une terrasse et d’une salle d’eau… Restauration bifurque en retour à l’identique et en
modification salutaire, sur le même plan.
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