Alternateur car il attire et menace d’absorber et à la fois
repousse renvoie à la périphérie de son indistincte zone d’influence, de son
rayonnement contradictoire dont les canaux sont à double sens, les circuits
ambigus. Il génère et dé-génère, construit et détruit, donne une identité
instable qu’il ruine aussitôt. Les mouvements concrets d’arrivées et de départs
sont l’application en grandeur réelle de schémas établis une fois pour toutes,
dirait-on, et tout ceci renvoie à la grande figure de la réversibilité de
l’abstrait et du concret, de leur superposition décalée : d’un côté,
l’oiseau, de l’autre, la cage et il suffit d’un mouvement giratoire enclenché,
dans certains cas, par la ficelle et les doigts, pour que l’oiseau semble
prisonnier, puis que l’arrêt le libère…
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