Il faudrait donc remettre en cause ce qui terminait le chant
précédent : repentir absolu rêvé. En
effet, le repentir échappe et la désaffection aussi puisqu’une permanence
(forme atténuée de l’éternité) s’installe qui brise le jeu conflictuel de
l’interdit. En effet, l’absolu devient le relatif dans l’aménagement par la
lumière d’une extase matérielle. En effet, le rêve se dissout dans l’éveil
d’une claire conscience des éléments concrets qui l’éclairent… Ce qui était d’abord
défini comme l’envers impossible de la désaffection et de son repentir :
une virtualité rare, bouscule la règle
du jeu et s’impose, autrement. C’est la première fois, parmi ces lignes, que la
désaffection et son repentir semblent en échec : grandes orgues sonores
d’un autre sort !
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