Faut-il clore ces chapitres que croise un triptyque, composé,
donc, de trois lieux réfractaires à l’abandon
et à l’allant, trois maisons chargées
d’une poudre (poussière et explosif) qui bloque leur dissolution, leur
dépassement ? L’unique ruse pour avancer est celle du développement du
texte lui-même, de sa germination ligne à ligne, l’une prolongeant l’autre, de
façon que ce qui reste et résiste soit,
au moins, déplacé dans la géographie du texte se faisant si ce n’est
dans l’esprit que lestent, différemment, on l’a vu, ces demeures hétérogènes
dans l’espace et dans le temps : à la fois hétérotopies (elles sont radicalement autres) et uchronies
(elles semblent unifier des temps épars et discontinus dans une fallacieuse
synthèse).
La Photographie n'est pas la peinture
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