+ Dame May Whitty, Isabelle Adjani, Uma Thurman, Tim Burton, James Cameron, David Fincher.
Séquence 12 :
° En voyant « La Nuit des morts-vivants » (1968), de Georges A. Romero, on se souvient d’Alfred Hitchcock:
- « Psychose » (1960) : le meurtre au couteau de la femme dans la cave et sa musique-cri,
- « The Birds » (1963): les planches clouées sur les portes et les fenêtres et les mains qui passent à travers comme les becs et les têtes des oiseaux, etc.
° Parfois, le plan devient page d’écriture et de lecture :
° En voyant « La Nuit des morts-vivants » (1968), de Georges A. Romero, on se souvient d’Alfred Hitchcock:
- « Psychose » (1960) : le meurtre au couteau de la femme dans la cave et sa musique-cri,
- « The Birds » (1963): les planches clouées sur les portes et les fenêtres et les mains qui passent à travers comme les becs et les têtes des oiseaux, etc.
° Parfois, le plan devient page d’écriture et de lecture :
L’image de l’écran devient scriptible, lisible, effaçable… comme un tableau, au sens scolaire du mot.
° Formes du temps dans quelques films de Gus Van Sant :
- « Gerry » : l’entropie (exténuation, désordre, incertitude généralisée),
- « Elephant » : le chaos (chocs de la simultanéité, puzzle/labyrinthe, catastrophe),
- « Last days » : l’implosion (la vie/le mythe, évanescence et pesanteur, boucles et séparations),
- « Paranoid Park » : l’expansion (orbes ouverts et effervescents, fuseaux, reprises).
Des dominantes combinent tous ces éléments selon des cercles (retour), des lignes (fuite) et des niveaux (pluralité).
° Un genre : confessions de vieilles dames :
- « Edward aux mains d’argent », de Tim Burton,
- « Titanic », de James Cameron,
- « L’étrange histoire de Benjamin Button », de David Fincher.
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